Un tremplin vers le monde professionnel grâce à l’alternance et la créativité
Peux-tu nous raconter ton parcours à la Fonderie de l’Image ? Pourquoi as-tu choisi cette formation ?
Après un bac général avec option audiovisuelle, je recherchais une école capable de stimuler à la fois ma créativité et ma réflexion. J’ai choisi La Fonderie de l’Image pour son ouverture au monde professionnel grâce à l’alternance, mais aussi pour son approche pédagogique concrète et créative.
Durant mon BTS Communication, j’ai eu l’opportunité de travailler sur des sujets très variés, avec une vraie liberté d’expérimentation. Des modules complémentaires, comme les cours sur les outils de PAO, sont venus enrichir ma formation.
Ce qui fait la force de La Fonderie, c’est ce savant équilibre entre la rigueur scolaire et l’expérience professionnelle. J’ai eu la chance d’effectuer mon alternance au sein du service communication de l’association Emmaüs, une structure de plus de 900 salariés avec de vrais enjeux de communication. En parallèle, j’ai aussi accompagné une créatrice de contenu, ce qui m’a permis de toucher à une large palette de missions.
Malheureusement, la pression cumulée des responsabilités professionnelles et scolaires m’a conduit à un arrêt pour surmenage en milieu de formation. Une expérience difficile, mais qui m’a aussi appris à écouter mes limites.
Quelles compétences ou expériences t’ont le plus marqué pendant tes études ici ?
Je n’ai pas de souvenir marquant isolé, mais s’il faut en retenir un, ce serait notre initiation au motion design. Elle m’a permis de réaliser une publicité diffusée sur plus de 150 écrans télé. Un beau défi ! Mais au-delà de la technique, ce sont les liens avec mes camarades qui me restent en mémoire. Ces moments de collaboration et de solidarité comptent autant que les compétences acquises.
Quels ont été les plus grands défis que tu as rencontrés en sortant de l’école ?
Mon parcours est un peu atypique. J’ai eu la chance de signer une promesse d’embauche en CDI trois mois avant la fin de ma formation. Cela m’a épargné beaucoup de stress à la sortie de l’école. Mon plus grand défi aujourd’hui ? Ne pas perdre mes compétences en PAO. Elles sont précieuses à mes yeux, mais peu mobilisées dans mon poste actuel. Je reste néanmoins attentif à les entretenir, car je sais qu’elles pourront me resservir.
Quel conseil donnerais-tu à un étudiant actuellement en formation à la Fonderie ?
Si tu es en BTS, n’hésite pas à passer du temps avec les étudiants en Bachelor. Vos formations sont complémentaires, et tu comprendras mieux certains métiers qui pourraient t’attirer plus tard.
Surtout, choisis bien ton alternance. C’est elle qui façonne ton CV et ton avenir professionnel. Et bonne nouvelle : la Fonderie est là pour t’aider à trouver celle qui te correspond vraiment !
Quel poste occupes-tu aujourd’hui ? Comment vois-tu l’évolution de ton métier dans les prochaines années ?
Je suis actuellement Chef de Projet chez SËNSE, une agence de marketing digital. Mon rôle consiste à comprendre les besoins de nos clients et à coordonner les équipes pour assurer la livraison des projets dans les temps.
J’ai eu la chance de travailler avec de grandes marques comme Fujifilm, le groupe Ramsay Santé, Ferrero, Coca-Cola, ou encore les Galeries Lafayette. Des clients prestigieux auxquels je ne pensais pas avoir accès aussi tôt dans ma carrière.
Aujourd’hui, je continue d’évoluer : en plus de mes missions de chef de projet, je forme désormais des commerciaux. Pour la suite, je souhaite approfondir cette dimension managériale et pourquoi pas, encadrer des équipes plus larges dans un avenir proche.