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Campus Fonderie de l'Image

CFA des Métiers de la Communication et de la Création Numérique.

Le Campus Fonderie de l’Image forme aux métiers de la communication numérique, du design graphique et du management de projets multimédia.
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Accueil ❱ Actus ❱ Interviews ❱ Alumni : que sont-elles devenues ? - Benedetta Gemiliana Pastore

Alumni : que sont-elles devenues ? - Benedetta Gemiliana Pastore

Alumni : que sont-elles devenues ? - Benedetta Gemiliana Pastore

Publié le 16 mars 2016 Catégorie(s) : Interviews Étiqueté : Alumni, Graphisme, Interview, Mastère

Il y a cinq ans de cela Benedetta Gemiliana Pastore 
faisait partie de la première promotion du Mastère international en Design graphique du Campus Fonderie de l’Image.

Aujourd’hui cette jeune franco-italienne

travaille en tant que graphiste pour Ptolémée, une agence spécialisée dans l’événementiel. Nous l’avons retrouvée au cours de l’Atelier #02 — signal organisé au sein de l’établissement par l’Association Signes. L’occasion de revenir sur son parcours au Campus et de partager les enseignements qu’elle en a tirés.
benedetta-ancienne-etudiante.jpg
Benedetta Gemiliana Pastore au Campus Fonderie de l’Image, le 04 mars 2016 durant l’Atelier #02 — signal.

Campus Fonderie de l’Image : Quelles sont les circonstances qui vous ont emmenées à entrer dans notre Centre de formation ?

Benedetta Gemiliana Pastore : Après un Lycée artistique en Italie, je suis venue à Paris. Je me suis d’abord inscrite dans un atelier préparatoire et c’est à ce moment que j’ai entendu parlé du Campus sur le Salon des formations artistiques. J’ai alors intégré le BTS en Communication visuelle du CFA et ensuite le Mastère de la Fonderie. Deux formations qui m’ont permis de faire de l’alternance en continu.

CFI : A propos, qu’est ce que vous a apporté l’alternance ?

B.G.P. : Tout d’abord, la possibilité de faire mes études. Sans mon salaire d’apprentie je n’aurais pas pu me permettre de faire des études en graphisme. Cela doit sembler bien terre à terre mais c’était la condition sine qua non pour poursuivre mes études et réaliser mon projet professionnel. Avec le temps, je constate que l’alternance m’a apporté la possibilité de me confronter tôt au monde de l’entreprise. J’ai eu la chance d’apprendre et de travailler auprès de maîtres d’apprentissage investis qui m’ont particulièrement bien formée techniquement. Cela m’a aussi permis de profiter du temps en classe pour développer mes compétences et des méthodes créatives.

CFI : Quels autres souvenirs forts gardez-vous de ces années d’études ?

B.G.P. : Je garde le souvenir de plusieurs années de dur labeur ! Ce n’est pas facile de combiner études et travail. Mais avec la patience et l’engagement des formateurs j’ai tiré le meilleur parti de ces années de formation en recevant les Félicitations du jury pour mon projet professionnel de Mastère. Enfin, l’événement le plus marquant de ma scolarité au Campus reste la masterclass organisée avec Ruedi Baur, écrire dans l’espace public.

CFI : En quoi consistait votre projet de fin d’études ?

B.G.P. : Intitulé Mise en forme du vide  mon mémoire constitue une exploration autour de la marge en éditions, des espaces vides dans une mise en page et plus particulièrement dans le cadre d’œuvres de théâtre. Cette recherche a constitué les fondements de mon projet pro : la mise en page sous forme de journal de la pièce de Jean Magnan, Et pourtant ce silence ne pouvait pas être vide. C’est une pièce qui se base sur la figure rhétorique de la prétérition : parler beaucoup pour ne rien dire. Inspirée d’une histoire vraie – celle des sœurs Papin – la pièce se transforme en drame. Sublime !

CFI : Quelles sont les compétences acquises au Campus qui vous ont ouvert des portes ?

B.G.P. : Je me souviens qu’au moment de mon embauche, mon responsable a particulièrement apprécié le fait que j’avais déjà de l’expérience en entreprise. D’autre part mon book a parlé pour moi, laissant transparaître ma sensibilité, ma curiosité et mon habitude de donner plus de place au chemin parcouru qu’au point d’aboutissement.

CFI : Quels sont vos médiums de prédilection ?

B.G.P. : Ce que je préfère dans ma pratique de designer graphique c’est la possibilité de changer de médiums et d’explorer leurs potentialités respectives. La PAO me sert le plus souvent à retoucher mais le fond de mon travail s’appuie toujours sur un médium créatif traditionnel ou artisanal - la broderie, la sculpture, le collage, la gravure - et divers matériaux : le bois, le carton, la mousse florale… En terme de support, j’ai un penchant pour l’édition.

CFI : Quelles sont les expériences qui vous ont le plus servie ?

B.G.P. : Une alternance dans une entreprise qui s’est très mal passée . Ma responsable ne me disait même pas bonjour, on effaçait mon travail pendant que j’étais à l’école… cette expérience a été extrêmement difficile. Mais riche d’enseignements : j’ai appris que le monde du travail pouvait être très hostile. L’envie de poursuivre mes études m’a fait tenir bon le temps de trouver une autre entreprise.

CFI : Y-a-t-il une phrase, une production ou une image une citation d’un designer, d’un ancien professeur, d’un intervenant au Campus qui a marqué vos choix de formation et votre parcours professionnel ?

B.G.P. : Je ne pourrais jamais oublier la patience, les encouragements et surtout la transmission de mon Directeur de mémoire, Alexandre Giraudeau. Il n’y a pas une phrase en particulier que je puisse citer de mémoire mais il s’agit d’un travail de longue haleine sur cinq années et de l’accompagnement de ce formateur : ceci a fondé toute ma méthode de travail. Le graphisme s’est enraciné profondément en moi et il est devenu constitutif de mon identité. Ce rapport sensoriel et sensible me sert tous les jours pour créer mais aussi pour regarder le monde et communiquer.

CFI : Quel a été le plus grand défi pour vous en sortant des études ?

B.G.P. : Tout de suite après l’obtention de mon diplôme le 5 juillet 2013, mon contrat en alternance s’achevait. Le 11 septembre de cette année-là j’étais embauchée en CDI chez Ptolémée. Le plus gros défi a été d’enchaîner sans prendre des vacances (rires). Non, plus sérieusement le défi qu’il faut relever chaque jour est celui de continuer à faire des travaux de recherche personnelle, de se préserver un peu de temps pour prototyper quelques idées et de continuer à voir des expositions et des conférences. Pour l’instant je ne m’en sors pas trop mal : la preuve je participe même à des Masterclass (rires).

CFI : Comment s’est déroulée la semaine ?

B.G.P. : En plus de beaucoup m’amuser, j’ai pu apporter une nouvelle dimension, celle sonore, à mon travail. Cette excursion momentanée hors de l’entreprise est très rafraîchissante et enrichissante.

CFI : Si vous pouviez inventer votre métier idéal de designer : comment s’appellerait-il ?

B.G.P. : Il s’appellerait « Benedetta amuse toi ! ». Il ne ressemblerait à rien de connu mais il serait comme une bulle dans laquelle je pourrais me permettre des associations étonnantes et tant pis si je me trompe !

CFI : Des projets pour la suite ?

B.G.P. : Dans un futur proche, peut-être trouver un travail de DA, plus créatif. Mais avant cela, concrétiser mon projet professionnel de Mastère autour du théâtre sous une forme finie et diffusable.

CFI : Un conseil pour les étudiants du Campus ?

B.G.P. : Plus qu’un conseil, je leur souhaite bon courage ! Je n’ignore pas l’énergie que demande la combinaison études et travail !

CFI : Quelle est la dernière exposition que vous êtes allée voir ?

B.G.P. : Delacroix et l’Antique. J’ai été particulièrement touchée par ses gravures de pièces de monnaies. Le cadrage, la touche, la composition ont une modernité déconcertante. C’était très étonnant.

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